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Et si demain...       Carolle Bertrand
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22 décembre 2011

Hanoi m’entends-tu?

 Carolle Clin Oeil de la vie                                                                                                                       

Chronique publiée par le Bulletin d'Aylmer le 21 décembre 2011

         Si j’ose aujourd’hui écrire, c’est bien à cause de ma ‘chum’ Lise, poèt’écrivain à l’écoute de l’aventure de la vie. Voilà qu’elle m’annonçait il y a quelques mois qu’elle partait le 14 décembre pour explorer/sentir/respirer le Vietnam avec son partenaire – séjour sac à dos d’environ 7 semaines, sans itinéraire très précis sauf l’atterrissage à Hanoi. Emballée par son projet, j’ai immédiatement imaginé le blogue qu’elle pourrait se créer afin qu’on puisse la lire au fil de son aventure. Comme elle était un peu beaucoup dernière minute et pas familière avec ce genre d’espace sur le Web, le 13 décembre en fin de soirée, nous étions au téléphone pendant que je lui créais son blogue et lui expliquais comment faire par la suite. Vite un courriel à son adresse gmail, avec instructions pour afficher des messages, ajouter des albums photos, etc. au cas où elle oublierait comment faire. Lise trouvera-t-elle à se ‘brancher’ une fois rendue au Vietnam?

 Alexie en route…

            C’est le titre de son blogue. On n’a pas eu le temps d’en discuter, on y travaillait à cent milles à l’heure pendant qu’elle imprimait son billet d’avion et réglait ses assurances et plus encore. J’ai donc imaginé qu’Alexie, c’était elle, Lise Careau, ma chum, en route pour une double aventure, le Vietnam et ce monde virtuel. Surprise, surprise, elle a affiché 2 messages le soir même. Oups! Un autre message le lendemain alors qu’elle attendait son vol à l’aéroport d’Ottawa. C’était parti! J’avais le sujet de ma prochaine chronique. J’allais créer une sorte de frénésie avec plein de ‘suiveurs’ d’Alexie sur le Web. Mais depuis… rien. Je vérifie son site 15 fois par jour, rafraîchis l’écran, rien. Hanoi, m’entends-tu?

            On est dimanche soir, pas de nouvelles d’Alexie. Hum, comment encourager les lecteurs à la lire? J’entreprends l’écriture quand même, espérant qu’il me viendra une idée. J’écris comme si ça allait marcher, qu’on pourrait suivre Alexie en route, mais j’écris un peu à reculons. Eh bien, une fois encore, la vie est au rendez-vous, juste avant d’envoyer cette chronique lundi midi, je rafraîchis à nouveau mon écran et vlan! Alexie nous donne des nouvelles, longues nouvelles. J’ai survolé les textes et je me rends compte qu’il est mardi pour Alexie et qu’elle ne trouve pas d’accent grave sur le clavier. J’ai donc bon espoir qu’on va pouvoir la suivre dans sa culbute culturelle.

2011-12-18 009

            J’ai rencontré Lise il y a une douzaine d’années. Après avoir entendu des bribes de mon histoire (mes histoires!), elle me répétait régulièrement : « Carolle, il faut que tu écrives ça!» Et moi de penser : « NON! Jamais de la vie. Moi je n’écris pas, je n’aime pas ça, ça ne m’intéresse pas. » Je sentais toutefois qu’elle avait peut-être raison, que ça devait se faire. La Vie se chargeait de me pousser par là, Lise étant un de ses instruments et j’en suis reconnaissante. J’espère bien que vous serez plusieurs à la suivre, faire des « J’aime » Facebook et contribuer à la frénésie. Et moi, comme j’ai accès à l’administration de son site et à ses statistiques, je pourrai vous suivre la suivre.L’adresse du blogue Alexie en route… : http://lisecareau.canalblog.com.

Changement de propos – un truc!

            Je pensais breveter ma découverte, mais là, j’ai trop hâte de la partager. T’est-il déjà arrivé d’essayer en vain de dévisser une vis (est-ce que ça se dit??) mal placée ou dans un endroit peu éclairé et de ne pas arriver à voir quel embout de tournevis serait nécessaire. Ça m’est arrivé plus d’une fois, en particulier après 50 ans. En fin de semaine, j’ai changé des luminaires chez moi. Rien à faire, change de lunettes, pas moyen de voir la marque sur la tête de la vis qui m’indiquerait quel embout utiliser. Messieurs, tenez-vous bien, je suis certaine que vous allez un jour ou l’autre utiliser mon truc. Une gomme à mâcher, machée! Ouen, il suffit de retirer la gomme de sa bouche, en faire une petite boule et la presser sur la tête de la vis. Retirer la boule de gomme et le tour est joué. Voilà, l’empreinte de la tête de vis!

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Commentaires
K
C'est pour quand la prochaine chronique? Je fouille le Bulletin à chaque semaine...!!!
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